Taki Atsuko

{ Nom }
Taki
{ Prénom }
Atsuko
{ Âge }
17ans
{ Sexe }
Féminin
{ Sexualité }
Hétérosexuelle

{ Dortoir n°1 }

{ Famille }

Atsuko est née près d’Osaka dont ses parents étaient tous les deux issus. En bref Akeno Taki, 35ans, travaillait à l’époque dans une épicerie en banlieu osakienne, certes son boulot n’était pas très bien payé ni très bien vu, mais il s’y plaisait, il aimait la simplicité. Yui Nakasawa était quant à elle une jeune businesswoman, nouvelle dans le travail mais déjà très douée en négociation, elle avait été au bon endroit au bon moment. Et c’est par hasard que ces deux là se sont rencontrés, ce fut le coup de foudre. Quelques semaines plus tard, ils officialisèrent leur rencontre en se fiançant. De là naquit Kaoru Taki, le grand frère d’Atsuko dont celle-ci n’avait jamais été vraiment proche {C’est pourquoi il ne sera pas vraiment cité dans l’histoire, il n’a de rôle que pour dire qu’elle n’est pas fille unique} Atsuko naquit quelques années après celui-ci. Le reste de la famille est éparpillée un peu partout au Japon. Il paraît même qu’elle aurait une cousine éloignée en France.. mais.. est-ce important ?

{ Histoire }

Dans toute la clinique d’Osaka, on entendait crier. C’était le service maternité. Des dizaines de bébés venaient au monde chaque jour et en tant que grande ville, Osaka possédait bien évidemment une grand clinique. Chaque patient était bien traité et ce jour là, le petit bébé qui venait voir à quoi ressemblait le monde humain ne faisait pas exception. Après avoir hurler de toute ses forces, la jeune mère trouva encore un effort pour choisir le prénom que l’enfant allait porter. Elle - car c’était une fille - s’appellerait Atsuko, tel l'avait décidé son grand frère Kaoru, âgé de 8ans déjà à l'époque. Les jeunes parents étaient aux anges, ils vennaient tout juste d’apprendre le sexe du bébé car ils avaient voulus conserver la surprise jusqu’au bout.

Durant des années, Atsuko était un bébé puis un petit enfant très sage. Pas de vrais bétises, pas de crise de pleurs. C’était une sorte d’ange avec une bouille irrésistible. Elle était choyée, elle avait tout ce qu’elle voulait. La famille Taki vivait en banlieu d’Osaka, dans une petite maison assez moderne à l’occidentale. Ils avaient des moyens, certes, et voulaient tout faire pour rendre la jeune fille heureuse. Quand le moment fit venu, ils décidèrent d’inscrire Atsuko à l’école maternelle. Tout allait bien et la jeune fille apprenait très vite. Rien ne se passait de travers, les parents étaient comblés.

Seulement, alors qu’Atsuko entra au collège, la jeune fille pourtant plus en âge de faire des crises commença. Non, elle ne retombait pas en enfance. Ses parents, inquiets, l’emmenèrent consulter un médecin, puis un psycologue. Aucune raison n’était donné aux crises de pleurs et d’angoisses de la jeune fille. Sa mère lui posait pourtant des tas de questions, mais Atsuko niait, toujours. Ses parents lui offrirent tout ce qu’elle voulait, comme d’habitude, pourtant ça ne suffisait pas.

Un jour, alors que la mère d’Atsuko passait le balai dans la maison, un coup de téléphone retentit. Elle alla décrocher : c’était l’école. Atsuko n’était pas allée à l’école de la journée. Qu’avait-il pu bien arriver ? Alors que sa mère commençait à s’inquiéter, Atsuko entra à la maison, encore une fois en larmes. Elle s’effondra dans les bras de sa mère et décida de lâcher le morceau. Atsuko révéla alors la terrible vérité. Elle avait été agressée sexuellement plusieurs fois par un professeur du collège, bien trop menaçant pour qu’elle puisse avouer. Elle avait peur, elle tremblait. Une semaine plus tard, il fut arrêté et l’on découvrit qu’elle n’était pas la seule enfant à avoir été abusée.

Les parents d’Atsuko et plusieurs autres parents décidèrent d’envoyer leurs enfants pratiquer les arts martiaux. Atsuko apprit alors tout l’art de l’aïkido, une sorte d’auto-défense. Ce sport l’aida à se canaliser et à prendre un peu plus confiance en elle. Ainsi elle se développa autant physiquement que mentalement. Rasurée, Atsuko décida alors qu’elle ne se laisserait plus jamais marcher sur les pieds. Malheureusement pour ses parents, Atsuko devint une jeune fille renfermée sur elle même, à la fois petite poupée et jeune femme rebelle. Plus rien ne pouvait atteindre Atsuko, elle était le centre du monde, de son monde, et personne ne pourrait plus lui faire de mal. A cause de sa méfiance, la jeune fille a du mal à se faire des amis..

Un beau jour, Atsuko se fit aborder dans la rue. Elle crut d’abord qu’on lui voulait du mal, mais pas du tout. En fait, on l’avait repéré pour faire partit de la célèbre école d’Osaka -Ohsaka Gakuen- En se disant que personne ne connaissait son histoire, Atsuko s’embarqua dans une nouvelle aventure.

{ Caractère }

Avant, Atsuko était plutôt du genre mignone à ne se plaindre de rien. Tout allait bien, elle était choyée et elle aimait ça. Elle demandait quelque chose et elle l’avait, parfois elle n’avait même pas besoin de réclamer et se retrouvait avec ce qu’elle voulait sous le nez avant même d’avoir ouvert la bouche pour en faire la demande. C’était magique en quelque sorte. Seulement, ça n’a pas vraiment duré. Depuis ce terrible evènement (Cf. histoire), Atsuko perdit toute confiance en elle. Elle pleurait sans cesse et se repliait sur elle-même. Sa méfiance se dédoubla à l’infini. Grâce à l’aïkido, Atsuko réussit à canaliser son énergie et devint un peu plus calme, elle faisait beaucoup moins de crise. Seulement, maintenant qu’elle savait se défendre, elle ne craignait personne. En plus d’être méfiante, elle était arrogante, egocentrique et même superficielle. C’était devenue une gamine insupportablement capricieuse. Rien ne lui résiste. C’est une tempête à elle-même.

{ Description physique }

Sous ses airs de petite poupée, Atsuko est une jeune fille peu développée. En fait, elle n’a pas vraiment eu de chance à la loterie génétique puisqu’elle n’a ni de longues jambes interminables, ni une grosse poitrine. Mais bon, elle ne se plaint pas puisqu’elle a hérité d’un jolie visage et de beaux cheveux longs et ondulés. Atsuko a la peau pâle qu’elle entretient en portant très souvent une ombrelle dès qu’il y a du soleil. Il s’avère que l’ombrelle est aussi pratique pour se défendre, deux en un. Le maquillage de la jeune fille est très léger, elle souligne son regard de mascara et d’un trait d’eyeliner. Niveau vestimentaire : Uniquement de la marque. De Baby the Stars Shine Bright à Métamorphose en passant par Angelic Pretty, que des vêtements lolitas.

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Fukada Kyoko