La nouvelle Kumiko...! xD [terminée]

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*Nom* Nakashima
*Prénom* Kumiko
*Âge* 17 ans
*Sexe* Féminin
*Sexualité* Hétéro

*Dortoir n°* 2

*Famille*

La famille de Kumiko se limite aujourd’hui à son père. Ne connaissant pas sa mère qui l’a "confié" à son père très tôt, pour disparaître sans laisser de traces, Kumiko a donc grandit avec son père et sa grand-mère paternelle. Mais la présence de sa grand-mère ne dura pas jusqu’à ce jour, la vieille femme décéda de vieillesse quelques années avant l’entrée de la petite fille au collège.

Mais la situation familiale de Kumiko et sur le point de changer, depuis quelques mois son père fréquente une femme très gentille, divorcée, et dont Kumiko a fait la connaissance et a déjà vu plusieurs fois chez elle. Mais voilà, l’amie de son père, avec qui elle s’entend bien, ne vit pas seule… Et Kumiko va bientôt avoir un demi frère, du même âge qu’elle et qui, elle ne le sait pas encore, est à Ohsaka Gakuen tout comme elle.

*Histoire*

"Ecrire mon histoire jusqu’à présent ? Hum ? C’est un peu difficile mais bon… Je ne suis pas du genre à baisser les bras devant la difficulté.

Alors, mon histoire commence un peu avant ma naissance, lorsque mon père, Nakashima Haruhiko, qui n’était alors qu’un étudiant en cinquième année de droit, rencontra ma mère biologique, Naoshi Reika. Ils vécurent un amour éphémère qui dura neuf mois et au cours duquel je fut conçue. Mais mon père ne fut pas au courant de mon existence tout de suite car Reika le laissa tomber du jour au lendemain, sans explication et sans nouvelles. Abandonné et triste, mon père se plongea un peu plus dans ses études et termina sa formation professionnelle avec un sans faute deux ans plus tard. Heureux de sa réussite, il le fut d’autant plus qu’il trouva rapidement un cabinet d’avocat renommé qui l’embaucha sans hésitation. Mais malgré tout ça, son bonheur était loin d’être parfait.

Quelques mois plus tard, alors qu’il travaillait assidûment pour monter une défense solide pour l’un des clients du cabinet, mon père reçut une visite inattendue. La secrétaire du cabinet, une très gentille fille mais qui manquait un peu de culture il faut le reconnaître, lui annonça au téléphone qu’une personne l’attendait dans le hall d’entrée du cabinet et qu’elle avait plutôt l’air pressée. Intrigué par cette annonce, mon père alla à la rencontre de cette personne et fut surpris de voir devant ses yeux, la femme qu’il avait tant aimé, la femme qu’il aimait encore et dont il n’avait pas eu de nouvelle depuis leur séparation.

Reika avait appris dans le journal, la situation plus qu’aisée de mon père mais elle n’était pas venue ici pour le supplier de la pardonner et de la laisser revenir, non pas du tout. Posait sur un siège derrière elle, reposait un couffin. Voilà la raison de sa présence. Si Reika avait ressurgi dans la vie de mon père, ce n’était que par intérêt. Elle voulait se débarrasser de ce qui l’empêcher de continuer sa vie, avec un bébé sur les bras elle n’arrivait pas à joindre les deux bouts, elle avait dû arrêter les études et trouver un job minable pour pouvoir survivre, mais maintenant ça allait être différent. Voilà à peu près les mots qu’elle prononça à mon père pour le convaincre de me garder avec lui, sans oublier les "C’est également ta fille, tu dois assumer…" ou encore "je l’ai pas désiré moi ce môme…". Ces mots là ce n’est pas mon père qui me les a répété. Nanako, ma grand-mère, s’en est chargé elle-même pour éviter que je me berce des illusions que me faisaient mon père. Lui m’a toujours dit que Reika reviendrait un jour à la maison, pour me voir et me dire à quel point son amour pour moi est grand. J’y ai cru petite, je n’y crois plus…

Les débuts de la vie de père furent difficile pour mon géniteur. C’est pour cela que ma grand-mère Nanako est venue l’assister. Nakashima Nanako, que j’appelais affectueusement "Nana" était la femme la plus gentille du monde, enfin jusqu’à ce que je rencontre l’amie de mon père et que l’on fasse connaissance mais pour l’instant il ne s’agit pas d’elle mais de ma grand-mère. Nana n’a jamais caché à mon père qu’elle n’aimait pas Reika et ne se retenait pas pour me raconter les pires horreurs sur elle. Mon père en était même effrayé… Même s’il en voulait un peu à cette femme d’avoir fait ce qu’elle a fait, il ne voulait pas que je sois triste à l’idée que ma mère ne m’aime pas et m’ait abandonné sans raison. Petite je croyais aux paroles de mon père ! J’étais naïve… Mais on ne reste pas naïf longtemps ou alors très rarement. J’ai donc grandit avec mon père et ma grand-mère… Même si on était pas une famille vraiment normale, j’étais heureuse de les avoir, chacun d’eux faisaient en sorte que je ne pense pas au fait que Reika n’était pas là. Au final, je me moque complètement de cette femme. Je n’ai aucun souvenir d’elle et comment je pourrais regretter une femme qui a choisi son propre confort à sa fille, quoique dise mon père. Mais contrairement à ce qu’on peut croire, je ne lui en veux pas. Si elle n’avait pas fait ce qu’elle a fait, je n’aurais pas rencontré mon père ni ma grand-mère, et je n’en serais pas là aujourd’hui.

Pour en revenir à la suite de mon histoire, il n’y a pas grand-chose de passionnant à dire. J’ai grandi normalement, je suis allée à l’école et je me suis facilement faite des amies… Et j’ai aussi perdue ma grand-mère un peu avant de quitter l’école élémentaire.

Je me rappelle de ce jour comme si c’était hier, sauf que je ne pleure plus maintenant. Ca faisait déjà quelques jours que Nana n’était pas bien, après un malaise mon père et moi avions dû l’accompagner à l’hôpital. Le médecin nous a annoncé, après diagnostic, qu’il préférait la garder quelques jours en observation, le corps de ma grand-mère était usé et fatigué et le mieux pour elle était de rester ici. Nous n’avons pas fait d’histoire, si c’était pour qu’elle aille mieux… Mais ce soir là, je me rappelle avoir eu un mauvais pressentiment. Les jours qui suivirent, je me levais plus tôt le matin pour aller la voir avant d’aller à l’école et je passais lui rendre visite en sortant des cours. Ce jour là, quand je suis venue la voir le matin, Nana dormait paisiblement et n’a pas ouvert les yeux. Je me rappelle l’avoir embrassé sur le front avant de la quitter, l’estomac noué de la voir si faible… Mais je n’ai pas pu la revoir le soir !

Il devais être deux heures de l’après midi lorsqu’un surveillant vint interrompre la classe pour s’entretenir avec notre instituteur. Je n’entendais pas un mot de ce qu’il disait pourtant je savais déjà, leurs regards compatissant lancés dans ma direction avant que notre enseignant m’appelle et me demande de suivre le surveillant. Préoccupée, je me suis levée, sous le regard interrogateur et curieux des autres et j’ai fait ce qu’on m’a demandé de faire. Nous sommes sortis et une fois la prote de la classe refermée, j’ai su… Ma grand-mère venait de nous quitter, de me quitter. Je me souviens vaguement des paroles que cette personnes m’avait dite ensuite, juste que je me suis élancé dans le couloir et que j’ai couru jusqu’à l’hôpital, jusqu’à la chambre de ma grand-mère. Il fallait que je vois ça de mes propres yeux. Mais une fois là bas, la chambre était vide et le lit défait. C’était vrai. Je me souviens m’être effondrée dans le couloir, et avoir pleuré… Le reste n’avait pas d’importance.

Ce fut une épreuve difficile pour moi qui n’était encore qu’une petite fille. Nana représentait beaucoup pour moi et j’avais encore besoin d’elle mais ce n’étais pas comme si j’avais été toute seule. Mon père choisit de ralentir l’allure à son travail pour prendre soin de moi et il m’aida à remonter la pente. Même s’il n’a jamais montré une larme après la mort de sa mère, je sais qu’elle lui manquait autant qu’à moi et j’étais admirative de le voir aussi fort. Alors je me suis promis de l’être aussi et j’ai réussi à sortir de cette épreuve meilleure.

Pour la suite, je suis entrée dans le secondaire. Je pourrais vous détailler chaque année passée dans ma nouvelle école mais ça risquerait d’être ennuyeux à souhait. Ma vie n’était pas tellement différente d’une jeune fille de cette âge. J’avais des amies, filles comme garçons, je n’étais pas vraiment ce qu’on peut appeler une fille populaire, plutôt l’amie sur qui on peut compter je pense. Je suis tombée pour la première fois amoureuse d’un garçon mais ce ne fut pas réciproque alors j’ai vite laissé tomber. J’ai aussi découvert un sport qui devint rapidement mon hobbies et pour lequel je me suis mise à fond. D’ailleurs, je me suis inscrite dans un lycée réputée, Ohsaka Gakuen afin de pouvoir m’améliorer. Vu les critères de sélection je ne pensais pas être prise mais j’ai reçu une lettre d’admission il n’y a quelques temps qui m’a prouvé le contraire. Rien de très intéressant je vous disais. Enfin ça c’était jusqu’à l’arrivée de quelqu’un de nouveau dans notre vie à mon père et à moi. Surtout dans la vie de mon père.

En février dernier, mon père m’a avoué fréquenter une jeune femme très gentille depuis quelques semaines. J’étais tellement heureuse pour lui que je lui ai posé des tonnes de question. Elle s’appelle Ame, elle est divorcé depuis cinq ans. Je l’ai déjà rencontré plusieurs fois et je la trouve vraiment adorable, mon père à de la chance d’être tombée sur elle… Oui c’est vrai, je suis enchantée à l’idée que mon père est enfin rencontrée quelqu’un qui lui fera définitivement oublier Reika.

Oh! Il y a encore une petite chose, l’amie de mon père à un fils de mon âge, je ne l’ai vu qu’une ou deux fois et donc je ne le connais pas vraiment. Même s’il m’a paru plutôt froid, je ne veux pas juger sans savoir et si nous devons devenir demis frères et sœurs plus tard autant bien s’entendre…"

*Caractère*

Kumiko est une fille plutôt dynamique, un vrai bout en train qui ne laisse pas passer une occasion de rire et de s’amuser avec ses amis. Rares seront les fois où vous la croiserez sans qu'elle ne soit souriante car bien qu’elle ne connaisse pas sa mère, Kumiko a vécu entouré de sa grand-mère durant son enfance sans oublier celui de son père. De ce fait, la jeune fille est devenue rapidement très sociable qui n'hésite pas à dire franchement ce qu'elle pense. Une autre caractéristique de notre petite nippone serait de n’avoir hélas pas la langue dans sa poche, ce qui lui pose parfois des ennuies. Malgré son besoin d’être entourée, elle aime également passer du temps seule dans un coin, pour laisser son esprit vagabonder.

Pour ce qui est de l’école, Kumiko est plutôt intelligente et aime étudier ce qui lui vaut de bonnes notes mais elle n’est pas pour autant une bête du travail et choisit bien souvent de passer un moment agréable avec ses amis et attraper de gros fou rire à en avoir mal au ventre.

Mais tout ça c’était avant… Avant que son quotidien ne se retrouve bouleversé par l’arrivée de la nouvelle amie de son père et de son fils…

*Description physique*

Kumiko est une jolie niponne très mignonne et attachante pas plus grande que les autres, du haut de ses un mètre soixante, elle n’a pas peur d’avancer dans la vie. Plutôt fine avec de longues jambes solides et de petits pieds ce qui lui permet de pratiquer son sport favori sans difficultés. Son visage reflète sa douceur et sa gentillesse envers les autres mais peut aussi devenir dur et grave quand il le faut. Sa petite bouille est entourée d'une chevelure au ton noir ébène, coupée entre le menton et les épaules, indisciplinée et dont une légère mèche vient dissimuler le haut du front.

La jeune fille possède de magnifiques yeux en amande sombres et profonds, qui laissent facilement entrevoir ses émotions, un petit nez plat et pointu avec un léger grain de beauté à peine visible sur le côté gauche et une petite bouche souriante et fine dont les lèvres sont douces et sucrées.
Kumiko a une silhouette plutôt fine et élancée avec un grain de peau très claire. Même si elle en a les moyens, Kumiko n'aime pas particulièrement les vêtements de grande marque, préférant s'habiller avec ce qui lui tombe sous la main plutôt que de passer des heures à coordonner chaques détails.
Elle ne porte ni percing ni tatouage ni boucles d’oreilles.

*Avatar* Horikita Maki

Re-bienvenue Kumi-chan !!

Merci mon ex coloc' préférée que j'aime...!

De rien ma coloc' préférée que j'aime aussi ♥♥♥

KUMIKO I LOVE YOU

RE-BIENVENUE <3

*SORT*

I LOVE YOU TOo ma petite Jun adorée!!!

*nan sors pas, restes avec moi*

MDR vous deux !
Yukichi devait pas commencer les validations hier ? ^^

Peut être mais bon...
Elle a peut être du boulot hors fofo???
C'est bientôt le bac nan?

moi aussi je t'aime onee-chan
(sent qu'elle va se faire assomer à coup de pelle XD)

Ouep, c'est juste qu'elle a dit qu'elle le faisait hier dans l'flood mais qu'elle y aille à son rythme, hein. C'est juste que je suis si heureuse que le fow' reparte et je languis de rp !!

Bienvenueeeeeeeeeeeeeeeeee !! <3
*élan d'affection*

*out*

hello ma sucette addict !!!!

ohayo choupette à la crème-euh
*gros calin de tac*

kiss

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